création 2003 –
La lobotomie, en tant qu’acte chirurgical, ne se pratique plus, mais son idée s’est imposée, pernicieuse, et “civilisée”, dans une “non-vie consommable”, afin de nous faire oublier nos peurs, les nommer, les mesurer, les compter, les vendre… nous rendre heureux !
Nous vivons cette époque formidable où l’imposture des nouveaux princes, les nouvelles consciences télé-chargées et l’optimisme des prédateurs se présentent comme les modèles du bonheur dans ce spectacle faussement affolé par lui-même.
PRESSE « La danseuse épate ; sa danse d’éventails est aussi tranchante que le sabre d’un samouraï, puissante et singulièrement personnelle.»
JM. Winants – Le soir Belgique
Chloé Roméo
– La Marseillaise«Hargneuse dans sa critique du décervelage, Veronica Vallecillo invente un flamenco contemporain qui dompte ses humeurs sans les amoindrir»Rosita Boisseau
– Le Monde«Le monstre en question, c’est la lobotomisation exercée par la société de consommation que Veronica Vallecillo brocarde avec un humour trash et déjanté où le flamenco apparaît comme une danse de combat. Décoiffant. »JM. Winants – Le soir Belgique
DISTRIBUTION : chorégraphie/scénographie/interprétation : Veronica Vallecillo
CO-PRODUCTION : Cie Veronica Vallecillo